1 / 8
Theuerdank. The Epic of the Last Knight
40Découvrez les aventures légendaires du chevalier Theuerdank, alter ego de l’empereur Maximilien Ier, à travers la dernière grande épopée en vers du Moyen Âge dont le souverain s’est servi pour rehausser le prestige de la maison des Habsbourg grâce à la puissance d’une technique pionnière, celle de l’imprimerie. Inspirée par un exemplaire original extrêmement rare, mis en couleurs à la main, appartenant à la Bibliothèque nationale de Bavière, cette édition réunit l’ensemble des 118 gravures sur bois dorées à l’or fin et des essais éclairants, des fac-similés et une transciption des récits, chapitre par chapitre, en langue moderne.
Reliure en tissu, 6.7 x 9.4 in., 3.09 lb, 398 pages
Theuerdank. The Epic of the Last Knight
40Le dernier des chevaliers
Les récits légendaires de l’empereur Maximilien Ier, premier souverain à avoir su tirer parti de l’imprimerie
Les incroyables aventures du chevalier Theuerdank et de son compagnon Ehrenhold forment la dernière grande épopée en vers de la fin du Moyen Âge. Le périple du preux chevalier parti conquérir sa future épouse, Marie de Bourgogne, ainsi que ses exploits guerriers ou ses triomphes dans d’autres situations périlleuses représentent le cœur de ce récit «véridique» enjolivé qui relate la vie de l’empereur Maximilien Ier (1459-1519).
Roi des Romains avant de devenir souverain du Saint-Empire romain en 1508, Maximilien fut un grand mécène mais aussi le premier souverain moderne à avoir reconnu le pouvoir de l’art comme instrument de propagande. Il commanda une trilogie de livres superbement illustrés pour immortaliser son existence, parmi lesquels Theuerdank, ouvrage publié de son vivant, composé par Melchior Pfinzing à partir d’une esquisse fantaisiste de Maximilien. Les 118 gravures sur bois, une par chapitre, magnifiquement travaillées et dorées à l’or fin ont été réalisées par Hans Burgkmair l’Ancien, Hans Schäufelein et Leonard Beck, et la police (devenue la police Theuerdank, caractérisée par ses spectaculaires «trompes d’éléphants») a été spécialement créée pour cet ouvrage par l’imprimerie de Hans Schönsperger l’Ancien.
Cette édition, inspirée d’une édition extrêmement rare, mise en couleurs à la main, appartenant à la Bibliothèque nationale de Bavière, à Munich, s’accompagne d’un essai de Stephan Füssel consacré à la vie et l’œuvre de Maximilien, ainsi qu’au rôle qu’il a joué dans l’art de l’imprimerie et le parti qu’il a tiré de cette technique, et d’une sélection de clavis, ou «clef», utilisée par Pfinzing pour signaler aux contemporains de Maximilien avec élégance les passages du récit relevant davantage de la fiction que des faits dans l’original.
L’ouvrage présente la fameuse typographie en «trompe d’éléphant» à travers des fac-similés sur doubles pages, reproduisant l’original à la lettre, jusque dans ses taches et ses marques. Il comprend également une transcription des récits, chapitre par chapitre, en langue moderne, permettant d’apprécier la stratégie narrative et les événements réels cachés derrière les allégories.
Roi des Romains avant de devenir souverain du Saint-Empire romain en 1508, Maximilien fut un grand mécène mais aussi le premier souverain moderne à avoir reconnu le pouvoir de l’art comme instrument de propagande. Il commanda une trilogie de livres superbement illustrés pour immortaliser son existence, parmi lesquels Theuerdank, ouvrage publié de son vivant, composé par Melchior Pfinzing à partir d’une esquisse fantaisiste de Maximilien. Les 118 gravures sur bois, une par chapitre, magnifiquement travaillées et dorées à l’or fin ont été réalisées par Hans Burgkmair l’Ancien, Hans Schäufelein et Leonard Beck, et la police (devenue la police Theuerdank, caractérisée par ses spectaculaires «trompes d’éléphants») a été spécialement créée pour cet ouvrage par l’imprimerie de Hans Schönsperger l’Ancien.
Cette édition, inspirée d’une édition extrêmement rare, mise en couleurs à la main, appartenant à la Bibliothèque nationale de Bavière, à Munich, s’accompagne d’un essai de Stephan Füssel consacré à la vie et l’œuvre de Maximilien, ainsi qu’au rôle qu’il a joué dans l’art de l’imprimerie et le parti qu’il a tiré de cette technique, et d’une sélection de clavis, ou «clef», utilisée par Pfinzing pour signaler aux contemporains de Maximilien avec élégance les passages du récit relevant davantage de la fiction que des faits dans l’original.
L’ouvrage présente la fameuse typographie en «trompe d’éléphant» à travers des fac-similés sur doubles pages, reproduisant l’original à la lettre, jusque dans ses taches et ses marques. Il comprend également une transcription des récits, chapitre par chapitre, en langue moderne, permettant d’apprécier la stratégie narrative et les événements réels cachés derrière les allégories.
À propos de l’éditeur
Stephan Füssel est directeur de l’Institut des sciences du livre de la Johannes-Gutenberg-Universität de Mayence où il est titulaire de la chaire Gutenberg. Il a publié de nombreux écrits sur les débuts de l’imprimerie, le rôle et l’importance du livre du XVIIIe au XXe siècle, ainsi que sur l’avenir des médias.
Theuerdank. The Epic of the Last Knight
Reliure en tissu, 17 x 24 cm, 1.40 kg, 398 pagesTélécharger les images des produits ici
4.8
Zeitreise ins Reich der Ritter
10 décembre 2021
Schön gebundenes Buch mit vielen prächtigen Abbildungen aus einer abenteuerlichen, alten und faszinierenden Zeit.Mittelalter
3 novembre 2021
Eintauchen in die Gedankenwelt eines spätmittelalterlichen Herrschers. Für Historiker und Liebhaber mittelalterlicher Literatur sehr empfehlenswert.Theuerdank
29 octobre 2021
A small format book but it made me surprised by its good quality in everything: cover, paper, reproductions. I think that in its category the book gives everything whats needed. I will keep on watching and waiting for new editions in this series too.Sehr interessantes Buch
27 octobre 2021
Wie alle Bücher des Taschen Verlags ist auch dieses Buch sehr interessant und empfehlenswert.Last Knight first storytelling
27 octobre 2021
Storytelling was not born yesterday but the day before. Beautiful images tell epic after epic. Sometimes the collective memory is just a beautiful fairy tale.